LES ANNÉES NÉGATIVES

 

les années 1970 on commençait à avoir des problèmes , à cette époque arrivait la période des emballages plastiques qui pour nous ont été très néfaces .On perdait beaucoup de clients sur les lampes  qui était un clients très important on fabriquait des étuis en cartons pour emballer les ampoules et aussi  les caisses de bouteilles d' eau remplacer par le plastique  et bien d' autres , la direction de l'époque n' a pas investie et on a été dépasser et les actionnaires ont baissé les bras. On n' a pas chercher plus loin  et on a été vendu a un grand groupe.

Pourtant notre directeur de l' époque était M. Alexandre Martin qui était maire à VILLOGNON et conseiller général du canton de MANSLE  il avait les cartes en main pour nous obtenir des aides pour investir mais ce brave Monsieur avait commencer a prendre de l'age et était dépasser par les événements bien dommage pour nous.

Il était plus intéresser par la politique  que par son entreprise.

Ce qui prouve notre perte  de commande et de clients  et notre perte de production suivi d' un licenciement.

 

 

LES PREMIERS ENNUIS EN 1974

 

 

En 1974, premiers ennuis : suite à de mauvais résultats, la direction nous annonce un plan de licenciements.

Après plusieurs négociations du syndicat en place, les licenciées sont reclassées à l' usine LEROY SOMER à ST GROUX près de MANSLE.

Les années passent mais la situation ne s'arrange pas et nous sommes vendus au groupe  LA ROCHETTE CENPA et comme directeur M. LASLIN et ensuite M. JULMANN.

GROUPE LA ROCHETTE CENPA
GROUPE LA ROCHETTE CENPA
Service commercial
Service commercial

Une partie du service commercial Gérard Roux,Jacqueline Michau, Andrée Delperier, Jean Croizard, Arlette Guitton, Michelle Pintureau

Une délégation à la prefecture
Une délégation à la prefecture

Une délégation syndicale, avec les maires de VILLOGNON et des environs.

Les délégués ANNIE PELLADEAU, PAULETTE LEBLOUC, DANIELLE BARUSEAU, COLETTE CHAUVEAU, MICHELINE PERRON, DANIEL ENAUD. Ainsi que les maires des communes de VILLOGNON, LUXE, XAMBES , MARCILLAC, FOUQUEURE, AMBERAC et CELLETTE, ainsi que M. SOURY, député du NORD-CHARENTE ont été reçus par le prèfet M. BARBOT.

 

En 1983 seconde vague de licenciements et nous serons revendu  à un technocrate de la finance  M. MERLE  qui ne fera pas mieux . Il ne connaissait rien sur la fabrique du carton et  la fabrication des embages cartons , et la situation ne fera que de s’agrafer. 

 

EN 1986 on est  revendu au groupe  MENIGAULT -OTOR  donc une usine à ITEUIL près de POITIERS avec comme directeur M. VILLANUEVA puis plus  tard M. LETASSEY.

 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           

En 1988 MENIGAULT fermera la papeterie de VILLOGNON

LA DESCENTE AUX ENFERS
LA DESCENTE AUX ENFERS

On a laissé les papeteries de VILLOGNON à l'abandon  PENDANT 10 ANS et au vandalisme. Les gens y sont allés faire leur marché de récupération de matériaux divers et les enfants en ont fait leur lieu de jeux, cassant les vitres et détruisant ce qui restait à détruire..

D'années en années, tout à été cassé, laissé en friche et voilà le résultat : un désastre. Et les bulldozers ont fait le reste.

Cette usine aurait pu être sauvée, mais quand on veut tuer son chien on dit qu'il a la rage.

Voici les images de la destruction.

Dans quelques années, personne se rappellera qu'il y avait une usine à cet endroit et qu'à une époque, plus de 300 ouvriers de VILLOGNON et ses alentours y travaillaient.

Le site sera acheté par la communauté de commune de MANSLE au bout de  10 ans  âpres la fermeture et elle  aussi à trainer les pieds un certain temps. avant de trouver une solution dramatique qui aboutira  à  la déstrution de NOTRE USINE.

 

QUEL GACHI.

La démolition  des maisons ouvrières qui auraient pu être vendu à des ouvriers pour un prix moindre mais  non , on a  préféré les  détruire quel gachi.

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